Page principale - S'identifier - S'inscrire - Contact
Les sortilèges de la petite plage-petite baie
Des sortilèges, j'en vois trois, le premier très différent des autres.
- Le premier fut évoqué par Guillaume Apollinaire, qui passa,en juillet 1918, une permission de deux mois à Kervoyal, au 34 Grande rue:
C’était un temps béni nous étions sur les plages
Va-t’en de bon matin pieds nus et sans chapeau
Et vite comme va la langue d’un crapaud
L’amour blessait au coeur les fous comme les sages
Va-t’en de bon matin pieds nus et sans chapeau
Et vite comme va la langue d’un crapaud
L’amour blessait au coeur les fous comme les sages