Le sable, enquête sur une disparition: Rediffusion
En France, il existe une quinzaine de sites d'extraction des sables marins
Demain, mardi 22 avril à 20H50, Arte rediffuse l’excellent documentaire de Denis Delestrac, Le sable: enquête sur une disparition.
Ce film, sous la forme d'une passionnante enquête, fait prendre conscience que le sable n’est pas une ressource infinie, et donc qu’il faut la protéger contre les projets d’extractions de sable siliceux ou coquilliers.
Prise de conscience? Pourtant en France, les extractions de sable continuent, à moins de 20 km des côtes, c'est à dire dans la cellule sédimentaire au sein de laquelle se déplace le sable au gré des saisons et des houles.
Prise de conscience. Dans certains sites, comme en baie de Noirmoutier, Sein, ou Lannion, la résistance s'organise.
Ce film, sous la forme d'une passionnante enquête, fait prendre conscience que le sable n’est pas une ressource infinie, et donc qu’il faut la protéger contre les projets d’extractions de sable siliceux ou coquilliers.
Prise de conscience? Pourtant en France, les extractions de sable continuent, à moins de 20 km des côtes, c'est à dire dans la cellule sédimentaire au sein de laquelle se déplace le sable au gré des saisons et des houles.
Prise de conscience. Dans certains sites, comme en baie de Noirmoutier, Sein, ou Lannion, la résistance s'organise.
Ainsi, en baie de Lannion, le Peuple des dunes en Trégor s'est soulevé contre une demande de prèlèvement de sable coquillier, et a déposé, avec le soutien de trois députés européens, en avril 2013, une plainte entre les mains de la présidente de la Commission des Pétitions à Bruxelles. En février 2014, cette requête a été jugée recevable, et le dossier validé en séance plénière le 1er avril 2014: La Commission des Pétitions a saisi la Commission européenne pour ouvrir une enquête préliminaire.
Par Marie-Roberte | | 21/04/2014 07:14 | Actualités | aucun commentaire |